En 2015, il y a eu 781 intrusions dans les réseaux rendues publiques qui ont eu pour conséquence l’exposition de plus de 169 millions de fichiers, un chiffre qui est constamment en hausse chaque année.
Il est évident qu’aucune entreprise n’est plus en sécurité et seulement 38% des organisations à travers le monde prétendent avoir confiance et être prêtes à gérer une cyber-attaque sophistiquée.
Les chiffres ne mentent pas. Les cybercriminels font preuve de plus en plus d’imagination et d’innovation et leurs attaques augmentent en sophistication et nombre si bien qu’il est difficile pour les entreprises de maintenir le rythme. En outre, il est évident que les méthodes traditionnelles, comme les antivirus, ne sont plus suffisantes pour protéger les données sensibles et les garder en toute sécurité.
Pour s’adapter à cette situation, des experts avant-gardistes en IT revoient leurs stratégies de cybersécurité en introduisant l’automatisation comme un outil pour une meilleure défense car les assaillants contre les réseaux ne sont plus des humains mais des milliers sinon millions de bots ou robots automatisés.
Les personnels IT ne peuvent pas rivaliser avec les bots ni ne sont capable bloquer manuellement des attaques à un rythme aussi intensifs. Leur capacité à prendre des décisions rapidement est tout aussi limitée.
C’est pour cette raison que l’automatisation est en train de devenir un des composants pour une cyber sécurité puissante et efficace capable de répondre en temps réel aux incidents de cybersécurité. Pour contrer une armée de menaces automatisées, il faut une armée qui soit aussi automatisée, aussi efficace et équivalente en sophistication.
Une bataille entre de bons bots et de mauvais bots.